samedi 9 janvier 2010

A l’heure des bilans et des chiffres

2009 vient de s’achever, une année marquée comme à l’accoutumée par son lot de drames, de catastrophes et de bonheurs, plus ou moins grands.

400px-RideauUne année au cours de laquelle j’ai évoqué l’incontournable crise économique dont nous semblons lentement sortir, et de manière générale l’actualité, dans ce qu’elle a de plus cocasse, ou de plus terrible. Je me suis également penché sur le retour aux affaires des anciennes gloires du sport, et celui, nettement moins réjouissant, des pirates que l’on croyait cantonnés aux grosses productions hollywoodiennes.

Faisant honneur à la devise de ce blog, j’ai dénoncé le business fait autour des morts et le conformisme ambiant, critiqué certaines de mes cibles favorites dans des diatribes qui, avec le recul, me semblent tout à fait justifiée. Parce qu’il faut aussi savoir balayer devant sa porte, je n’ai pas manqué de souligner les travers qui guettent tout blogueur et les limites du guest blogging.

Fort heureusement, tout n’est pas si sombre au pays des blogs, j’ai aussi chroniqué certains des livres que j’ai appréciés, qu’ils évoquent l’Histoire avec un grand H, ou inventent un monde nouveau, mais dans le fond tout aussi inquiétant. Quelques films m’ont également marqué par leur à-propos, qu’il s’agisse de dénoncer entre les lignes le racisme, ou les dérives d’un capitalisme sauvage. Les jeux vidéo n’ont bien sûr pas été en reste, deux billets leur étant consacrés, l’un à ce qui fait un « bon » jeu, l’autre aux multiples talents de l’assassin le plus classieux de l’histoire vidéoludique.

Loin d’en rester à ces considérations bassement matérielles, mon esprit s’est quelquefois évadé, vagabondant ça et là pour donner naissance à mes billets préférés. De mes pérégrinations imaginaires dans le métro, puis au cœur de la saison estivale, et plus récemment, de l’hiver, je garde grâce à ces textes une trace, un souvenir indélébile.

Voilà pour l’essentiel de 2009, même si j’oublie des billets. Que retenir de tout cela ? En me relisant pour la première fois, ce qui me frappe c’est la diversité des thèmes abordés, les mauvaises langues diront le manque de cohérence. Comme annoncé dans ma page de présentation, j’ai touché un peu à tout, restant le plus souvent à la surface des choses, faute de temps pour en approfondir l’étude. Disons-le tout net, une certaine forme de paresse n’y est pas totalement étrangère. Mais peut-être que c’est l’époque qui veut ça ?

 

2009, c’était ça (les fautes de frappe sont d’origine) :

nuage tags 2009 etroit

1 commentaire:

Anonyme a dit…
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